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Les
audits conjoints |
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Vous
pouvez faire certifier par 2 certificateurs distincts. Mais tous les
organismes ne pratiquent pas ces audits conjoints. Cause principale
: la concurrence que se livrent les organismes qualificateurs qui
les empêchent de se partager un même territoire…. Posez la question
dès le début de votre recherche du " bon certificateur ". |
Certificateur
accrédité
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En premier
lieu votre certificateur doit être reconnu. Nous vous conseillons
de prendre un certificateur agrée par un organisme (en France, le
COFRAC). |
Reconnaissance internationale
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Si vous exposez, vérifiez
sa couverture géographique est-il reconnu par vos clients ? Est-il
bien implanté en Afrique francophone ou en Australie, territoires
où vous faites votre meilleur chiffre ? Il est évident par exemple
que LRQA, organisateur certificateur issu de la LLYOD'S est davantage
reconnu dans les pays anglophones qu'un organisme franco-français. |
Ecoute,
disponibilité
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Vérifiez son écoute,
sa disponibilité, surtout si vous êtes une PME peu armée pour les
dédales de procédures. En principe, votre organisme certificateur
doit veiller à vous faciliter les choses. Loin d'être un examen de
principe ou un acte de censure, cet audit doit être constructif. Pour
simplifier les contraintes administratives et présenter à ses futurs
clients le déroulement d'un audit de certification, certains certificateurs
éditent un " vade-mecum de la certification ". |
Calculs sur
le long terme
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Vous allez signer un contrat commercial
avec un fournisseur dont vous réglez les journées d'audit. Calculez
bien le prix de la prestation de l'organisme sur le long terme. Car
vous devrez rajouter à l'audit initial des audits annuels pour confirmer
la certification. Il est donc normal que vous réfléchissiez, voire
que vous compariez plusieurs offres car les sommes en jeu ne sont
pas minces et engagent l'avenir de l'entreprise. Ce certificateur
doit répondre à vos attentes. Sinon vous avez parfaitement le droit
de le récuser et d'en choisir un autre. |